Ce matin je vais bien, ce matin je suis bien,
c’est un matin comme aucun autre
Ce matin j’aime bien être près du chemin,
prêt pour l’grand saut,
prêt pour un p’tit câlin

 

Ça m’atteint l’air de rien, j’me retiens ça m’atteint,
juste juste le temps d’un je t’aime
Ça maintien le suspens,
tiens tiens tiens, v’la l’refrain,
alors je viens, je te rejoins

 

Pour se m’amourer encore,
s’abandonner à notre sort,
pour te savourer encore,
te m’amourer illico

 

Ça m’dit bien de recommencer samedi prochain,
lors d’une future autre rencontre mais
Ca m’dit rien d’prendre le train de 7h21,
tu le sais bien, je n’suis pas du matin

 

J’ai l’beguin, oui l’beguin,
de tes reins de tes seins,
de tes longues longues jambes fines
Si tu veux dès demain on s’retrouve à Berlin,
à Saint Germain ou au musée Grévin

 

Pour se m’amourer encore,
s’abandonner à notre sort,
pour te savourer encore,
te m’amourer illico

 

Ce matin je vais bien, ce matin je suis bien,
c’est un matin comme aucun autre
Ce matin j’aime bien être près du chemin,
prêt pour l’grand saut,
prêt pour un p’tit câlin

 

Ça m’atteint l’air de rien,
j’me retiens ça m’atteint,
juste, juste le temps d’un je t’aime
Ça maintien le suspens, tiens tiens tiens, v’la l’refrain,
alors je viens, je te rejoins Je te rejoins, je te rejoins.

 

François Fraisse