Jusqu’au bout du tunnel,
Jusqu’aux sommets où les neiges éternelles veillent
J’irai te retrouver là où tu t’es cachée
Là tout près, de blanches orchidées,
jusqu’au-boutiste moi, j’irai là où tu s’ras
Même là où les fauves sont rois
Peu m’importe la peur de périr j’en pleure de joie,
A l’idée de te recueillir à nouveau
dans ma demeure
Même si je perds pied
Au risque de me noyer
J’boirais le calice jusqu’à la lie, la lie
La livraison de toi, reviens moi
Je prie, je prie, je prie,
De toute mon âme je prie
Pour que notre amour ne se meurt,
Jamais, jamais, jamais, jamais, Donna
Je prie, je prie, je prie,
De toute mon âme je prie
Pour que notre amour ne se meurt,
Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais
Jusqu’au bout du Pérou,
Dans n’importe quel coin du monde j’y serai
Pour te suivre à la trace, j’imagine l’audace,
Qu’il me faudrait pour y arriver
Jusqu’à la déraison
Et à la floraison du jardin de nos passions
Peu m’importe la peur de périr j’en pleure de joie,
A l’idée de te recueillir à nouveau,
Dans ma demeure
Même si je perds pied
Au risque de me noyer
J’boirais le calice jusqu’à la lie, la lie
La livraison de toi, reviens moi
Je prie, je prie, je prie,
De toute mon âme je prie
Pour que notre amour ne se meurt,
Jamais, jamais, jamais, jamais, Donna
Je prie, je prie, je prie,
De toute mon âme je prie
Pour que notre amour ne se meurt,
Jamais, jamais, jamais, jamais, jamais, Donna
Jusqu’au bout du tunnel,
Jusqu’aux sommets ou les neiges éternelles veillent
J’irai te retrouver là où tu t’es cachée
Là tout près, de blanches orchidées,
Jusqu’au-boutiste moi j’irai là où tu s’ras
Même là, où… les fauves sont rois.
François Fraisse